Olivier Giroud, après avoir remporté son premier titre avec le Los Angeles FC en US Open Cup, a souligné les principales différences entre sa nouvelle vie aux États-Unis et celle qu’il menait en Europe.

La MLS, ce n’est pas la pre-retraite. Olivier Giroud se confie sur sa nouvelle vie aux Etats-Unis. L’attaquant français, habitué aux grands championnats européens, découvre un nouveau rythme et une nouvelle culture footballistique en MLS, marquée par des aspects distincts tant sur le plan sportif que personnel. « Pour être honnête, j’ai été impressionné par l’intensité du jeu », a-t-il déclaré.

« Il y a une différence avec l’Europe sur le plan tactique car les équipes jouent pour marquer des buts. Il y a vraiment ce désir de toujours aller de l’avant. C’est agréable pour les attaquants et les supporters. Et il y a de la qualité, il y a de grands joueurs », a-t-il ajouté. Mais ce n’est pas le seul grand changement observé par Olivier Giroud depuis qu’il a traversé l’Atlantique, cet été.

20h d’avion en un mois

Le plus dur pour Olivier Giroud, dans cette Major League Soccer (MLS), ce sont les déplacements : « Les déplacements sont énormes. En Europe, lorsque vous voyagez en Ligue des champions par exemple, le vol le plus long dure une heure et demie ou deux, à part quand vous jouez à Bakou pour la finale de la Ligue Europa. Ici, j’ai déjà fait vingt heures de vol en un mois. »

Giroud évoque enfin ses derniers pas avec les Bleus. « Je suis forcément très déçu, mais aussi nostalgique à la fois. Parce que je sais que c’est la dernière fois que je portais ce maillot bleu. Ça s’arrête là, c’est le clap de fin. Forcément, dans ses rêves, on espère finir sur une bonne note, sur un trophée. Un peu abattu, un peu triste, de ne pas avoir pu marquer un but dans cette compétition avec le maigre temps de jeu que j’ai eu (59 minutes, ndlr). Ce n’était pas la fin que j’espérais », a avoué Giroud dans une interview accordée à Téléfoot.

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