Les critiques sur Neymar et le PSG, Leonardo en a marre

Andy Morris 3 Min Read
leonardo1 1024x562 1 e1631775426796
leonardo1 1024x562 1 e1631775426796

Ces derniers jours, le PSG n’est pas épargné par les critiques. Leonardo est monté au créneau pour défendre ses joueurs.

Trop c’est trop. Neymar nul, Messi qui n’y arrive… Les critiques pleuvent sur le PSG en ce début de saison. Mais pour Leonardo, le directeur sportif, il y a critique et critique. «La seule chose que je n’aime pas trop, c’est la manière dont ça se juge tout ça. Il y a une manière d’en parler et de critiquer un peu gratuite, c’est un peu trop. Par rapport au coach, aux grands joueurs, ceux arrivés cette année ».

« Je ne comprends pas pourquoi, mais on accepte. On sait pourquoi on n’est pas bien mais la manière… Tu peux dire qu’on n’est pas bien, mais ça commence un peu à passer les limites. Dire que le coach ne connaît rien au football, que les grands joueurs qu’on a pris sont nuls», a-t-il dit aux journalistes en zone mixte.

« On est plus inquiets par rapport à Instagram, où ils étaient… »

«Ce qui me gêne un peu, c’est qu’il y a des gens qui veulent se faire beaux en parlant du PSG. C’est un peu une promotion personnelle, et là c’est autre chose qui gêne. Tu peux critiquer en disant que tu n’aimes pas mais en promotion personnelle, c’est moins beau. Je demande un peu de tous se calmer. Aujourd’hui même si on ne joue pas comme on veut, on a fait 10 victoires, 1 nul et 2 défaites. Et on est aujourd’hui avec 10 points d’avance en tête de la Ligue 1. Qu’on ne joue pas comme on veut, oui d’accord. Mais on est dans un schéma, on cherche.»

«Il n’y a jamais eu un manque d’efforts, c’est la quatrième victoire que l’on a comme ça. C’est une caractéristique d’une équipe qui a envie. Là, on est plus inquiets par rapport à Instagram, où ils étaient… On parle plus de ça que quelque chose de spécifique, et ça gêne. On accepte qu’on n’est pas comme on veut, mais tu ne peux parler de Mbappé, de Messi, de Neymar, de Verratti, ou du coach et de Marquinhos comme ça».

Share This Article
Quitter la version mobile