Après l’annonce de sa démission de la RFEF, Luis Rubiales se défend encore après avoir embrassé Jenni Hermoso contre son gré.
Luis Rubiales n’en démord pas. Malgré sa démission de la présidence de la Fédération espagnole, l’ex-homme fort du foot local se défend. « Il n’y a eu aucun mal, aucun contenu sexuel, aucune agression, rien de tout cela» , dit-il, à propos de son baiser à Jenni Hermoso. «Pas d’abus ?», lui a demandé à nouveau le journaliste.
«Bien sûr que non. Bien sûr que non. C’est un moment d’effusion et de bonheur» », a répondu Luis Rubiales. «La signification du baiser à Jenni Hermoso aurait été exactement la même que celui d’un baiser à l’une de mes filles (…) entre amis et famille, c’est très, très courant», a-t-il ajouté.
Luis Rubiales estime cependant qu’il aurait pu faire autrement lors «d’un moment très heureux, une célébration, un moment d’euphorie». «J’ai pleinement confiance dans le fait que la vérité éclatera et que tout ira bien. Regardez mon visage, je suis un bon gars», a-t-il conclu. Luis Rubiales risque de lourdes peines, allant d’une amende à quatre ans de prison.