La DNCG a confirmé les sanctions lancées contre l’Olympique Lyonnais en première instance, début juillet.
La DNCG ne lâche pas Lyon. Et maintient sa décision encadrer la masse salariale et les indemnités de mutations du club récemment vendu à John Textor.
L’investisseur a réagi via un communiqué : “En plus de la présentation de notre budget et de notre stratégie d’entreprise, la direction d’OL Groupe a également apporté de nouveaux éléments, comme l’avait précédemment demandé la DNCG (…) ce n’était toujours pas suffisant. Nous avons été invités à payer près de 400 millions d’euros en espèces à ses actionnaires de longue date, à payer 65 millions d’euros en espèces à ses actionnaires publics, à réduire la dette bancaire de 50 millions d’euros, puis à financer 60 millions d’euros supplémentaires en espèces (à court préavis) juste pour faire bonne mesure, mais nous ne sommes pas encore invités à exécuter un plan d’affaires basé sur nos convictions, avec les mains libres, pour le bénéfice de la communauté que nous servons. Encore une fois, bienvenue dans le football en France !” a-t-il dit.
Dans L’Équipe, le président historique de l’OL Jean-Michel Aulas se lâche contre son successeur : “Moi, je n’ai jamais été inquiété par la DNCG. Je n’ai jamais eu un quelconque problème en 35 ans de présidence. Jusqu’ici, la DNCG nous a toujours félicités pour notre gestion.”